Précisions
Un cépage est une variété de plan de vigne, ou raisin. Tel cépage déterminé constitue l’une des composantes d’un terroir viticole.
Le terroir est l’ensemble des facteurs naturels, climatiques, pédologiques, géologiques et humains (usage, savoir faire) qui constituent l’environnement de fait d’un vignoble et président à l’élaboration du vin
Un lien qui référence une grande partie des cépages
http://plantgrape.plantnet-project.org/cepage/Verdesse%20B
Entretien avec Pierre Galet à propos de l’ampélographie
http://www.youtube.com/watch?v=ZidXSiiebFc
Certains commentaires sont issus de l’ouvrage de Pierre GALET « Cépage et vignobles de France » tome II de 1958.
Les cépages positionnés sur le conservatoire TRIEVES
L’Onchette appelé aussi ouchette, n’a été décrit par personne, il est ignoré des ampélographes Pulliat, Viala et Rosendra. Ce cépage est mentionné au congrès des viticulteurs à Dijon en 1845 par Gras et Buesson. Article repris dans le Progrès Agricole de 1897. Il est signalé dans le bulletin de l’OIV (Office International de la Vigne et du Vin) de 2004 comme ayant un lien possible de parenté avec le Gouais*.
Cité par Pierre GALET dans son ouvrage « Cépages et vignobles de France », et dans « Ampélographie Française en 1990 », il nous informe qu’une surface de 12ha est cultivée en référence du cadastre viticole de 1958. Répartie sur 28 communes principalement dans la vallée du Drac de Nantes à Ratier à Beaufin ainsi qu’à Entraîgues et Valbonnais. Ce cépage existe aussi à Roissard, Lavars, St Aray et Mayres Savel. Dans le cadastre de 2006, l’Onivin ne mentionne plus ce cépage. A nous de retrouver ces traces, avis aux amateurs !!!
* Aujourd’hui, le Gouais est devenu un cépage très secondaire qui a pratiquement disparu de la culture dans la plupart des vignobles modernes.
Pourtant, par le passé et notamment durant le Moyen-Age, il a connu un développement très significatif, non seulement en France mais aussi en Europe. A la lumière de travaux récents portant sur l’analyse moléculaire, ce cépage s’est avéré être un géniteur particulièrement important et efficient. Depuis la découverte du rôle joué par le Gouais en tant que géniteur de cépages renommés comme le Chardonnay ou le Gamay (Bowers et al., 1999),
Des recherches ont été poursuivies et approfondies concernant cette variété. Parallèlement, les analyses moléculaires ont été étendues à la majorité des cépages français en collection au Domaine de Vassal (INRA) ainsi qu’à un certain nombre de cépages d’origines diverses.
L’Onchette fait partie de ces cépages et a été identifié parmi les 78 cépages sur 540 ayant un lien de parenté avec le Gouais.
Lors de l’inventaire finalisé en 1958, l’Onchette représente 12 hectares de surface viticole dans le Sud Isère et plus particulièrement sur le Drac et le Trièves. (Quelques exemples de l’inventaire cadastral de 1958 en page documents anciens cépages).
Le Persan – On ne connaît pas son origine exacte mais son point de départ serait Saint Jean de Maurienne en Savoie. Il fut longtemps le cépage dominant dans toute la vallée de l’Arc jusqu’à la jonction de l’Isère voire jusqu’aux limites du département de la Drôme. On le rencontre dans la vallée du Grésivaudan jusqu’en Savoie. Il a une ressemblance particulière avec l’étraire de l’adui.
Cépage vigoureux à débourement précoce, bon producteur, à tailler court de préférence. Affectionne plus particulièrement les terres issues d’éboulis calcaires, situés en coteaux secs et bien exposés. Sensible aux maladies, en particulier à l’oïdium et au mildiou. Maturité 2ème époque.
Au goût il donne des vins puissants et charpentés, un peu rude dans leur prime jeunesse mais qui se fondent admirablement avec le temps.
C’est un très bon vin de garde (12 à 15 ans). Il développe des arômes de framboise, de violette, de fruits rouges et de cuir. Il convient parfaitement aux petits gibiers.
On attend avec impatience de voir ce qu’il va donner dans le Trièves.
Le Bia Blanc – Ancien cépage de la Vallée de l’Isère et du Rhône. Le Bia blanc était souvent associé avec d’autres cépages (maclon jacquère, marsanne). On lui trouve une certaine ressemblance avec le ribier ou petit ribier rencontré dans les jardins ethnobotaniques de la Gardie à Rousson (Gard). Aujourd’hui, le Bia blanc et le Bia gris ne sont pratiquement plus présents dans le vignoble d’où une disparition quasi certaine.
Débourrement tardif. Affectionne particulièrement les terres profondes de coteaux bien exposés. Il est assez vigoureux, sa production est moyenne, à tailler long de préférence. Sensible au mildiou et un peu à la pourriture grise. Maturité 2ème époque.
Donne un vin agréable et parfumé.
Le Joubertin
Cépage découvert en 1835 dans une vigne de Claix par M. Joubert. Ce plant c’est propagé un peu partaunt, jusque dans la vallée de la Loire.
Trés vigoureux, le joubertin peut être conduit en taille longue, il peut alors donner d’aprés Rougier de 150 à 200 hectolitres par hectare.
Il donne des vins très colorés et corsés, mais un peu acide, il convient pour assouplir d’autre vins tel le Persan. Le Joubertin a été classé dans l’Isère.
La Verdesse
La verdesse est une vigne vigoureuse que l’on cultive principalement dans le vignoble du grésivaudan et isolément en Savoie et le Bugey.
Cépage vigoureux, la conduite est souvent faite en treillages à taille longue. Son raisin est sensible à l’Oïdium.
Cette vigne produit un vin jaune pâle au bouquet agréable. Les meilleurs vins sont obtenus dans les coteaux calcaires du jurassique de la rive droite et sont tout à fait remarquables.
Le Durif
Ce cépage doit son nom à un Dr Durif qui le propagea vers 1880, se reait un semis ou une sélection de Peloursin ( cépage du nord Isère). Il n’a rien d’un pinot et doit son appellation de plant fourch à la présence fréquente de rameaux fiasciés. Considéré comme ayant une résistance relative au mildiou, il s’est répandu dans de nombreux vignobles.
CORBEAU, DENOMME DOUCE NOIRE
(Nota : Document rédigé en 2009 et son additif en 2011)
Roger RAFFIN
I – HISTOIRE/ORIGINE/AIRE GEOGRAPHIQUE
L’introduction de ce document qui m’apparaît la plus pertinente est la citation de quelques extraits de la monographie, intitulée « Douce Noire », rédigée par E. DURAND, dans sa contribution à « L’AMPELOGRAPHIE » publiée sous la direction de P. VIALA et V. VERMOREL (tome II), en 1901. Dans le chapitre « Historique et origine », je cite : « …elles (les archives de la SAVOIE) nous ont cependant servi à fixer notre opinion sur le nom de Douce Noire, qui est le plus ancien sous lequel la variété paraît avoir été désignée… ». « …plaçons le berceau français de la Douce Noire dans le département de la SAVOIE … » Ce cépage a toujours occupé une place importante en SAVOIE et était également présent bien au-delà. Dans un document du Conservatoire du Vignoble Charentais, du 7 février 2005, on relève : « Le Corbeau, cépage connu dans les CHARENTES (déjà présent au 18 ème siècle) sous le nom de DOUCE NOIRE… » Et, au début du 19 ème siècle, en 1803/1804, dans le cadre d’une enquête sur l’encépagement français ordonnée par NAPOLEON 1er il est, entre autres, indiqué pour la SAVOIE :
* La Douce Noire est le plant dominant de l’arrondissement de MOUTIERS.
* La Douce Noire occupe la plus grande étendue de terrain dans la commune de ST. PIERRE D’ALBIGNY.
* Dans le canton d’AIX LES BAINS, le plant le plus cultivé, et donnant les meilleurs résultats, est la Douce Noire.
E. DURAND (1901) signale que l’aire de dispersion de ce cépage est assez étendue dans le bassin français du Rhône, qu’il est cultivé sur 200 à 300 ha en Franche-Comté, et qu’on le trouve à l’état sporadique en Côte d’Or er dans l’Yonne.
Quant aux derniers chiffres officiels, avant l’interdiction de 1958, concernant la Douce Noire, ils nous sont donnés par le cadastre IVCC de cette même année 1958, dans un dossier de Pierre GALET intitulé : « Evolution de l’encépagement français, 1958-2006″, publié par le Progrès Agricole et Viticole, N° 13-14,juillet 2008 : FRANCE : 962 ha, avec la répartition principale suivante :
SAVOIE : 499,09 ha _ AIN : 300,77 ha _ ISERE : 86,65 ha _ DORDOGNE : 20,00 ha _ LOT ET GARONNE : 9,00 ha _ CHARENTE : 3,70 ha _ HAUTE SAVOIE : 2,10 ha
Et pour situer la place de la Douce Noire dans l’encépagement savoyard les chiffres de l’IVCC de 1958 indiquent qu’elle est en deuxième position avec ses 499 ha, derrière la Jacquère 1085 ha et devant la Mondeuse Noire 445 ha
II – AMPELOGRAPHIE
Quelques données
Selon E. DURAND (Ampélographie Viala et Vermorel 1901) : « …La Douce Noire est un cépage fort bien caractérisé; son nom de Picot Rouge (pédoncule rouge) s’applique plus spécialement à une de ses formes dans laquelle le pédoncule de la grappe est rouge; dans une autre forme il est vert; il en existe même une forme à la grappe dense, serrée; une autre dont les grains sont lâches… »
Selon Pierre GALET (Cépages et Vignobles de France 1990) :
« Douce Noire…Description : Bourgeonnement épanoui, duveteux, blanc. Jeunes feuilles aranéeuses à plages bronzées. Feuilles orbiculaires, 036-2-57, moyennes, finement bullées, assez profondément lobées avec les sinus latéraux 43 à 54 à fonds aigus, sinus pétiolaire en lyre; dents ogivales, étroites; limbe en dessous aranéeux et finement pubescent. Le feuillage rougit totalement à l’automne. Rameaux côtelés, violacés au soleil avec des stries logitudinales brunes au dos; vrilles longues. Grappes moyennes, cylindriques, compactes; baies moyennes, sphériques, noir bleuté, juteuses; maturité 2ème époque »
III – REHABILITATION
Ainsi, malencontreusement interdite en 1958, au grand dam de nombreux vignerons et pépiniéristes, elle est inscrite au Catalogue Officiel des Variétés de Vigne en mars 2008, au terme de 50 ans de proscription. Vers la fin du 20 ème siècle, des scientifiques, des amateurs et quelques agriculteurs, dont des vignerons, s’alarment de l’érosion génétique des races d’animaux domestiques et des variétés cultivées. Un consensus s’amorce pour la sauvegarde de la biodiversité. Dans ce nouveau contexte, en liaison avec le Syndicat des Producteurs de Vins de Pays d’Allobrogie, j’engage le processus de réhabilitation à l’aube du 21 ème siècle.
2006 : inventaire de l’encépagement en Douce Noire, dans les départements de la SAVOIE et de l’AIN. 14 vignerons cultivent encore ce cépage sur une surface de 34,50 ares + 442 ceps plus ou moins isolés.
30 août 2007 : visite d’expertise sur les principales parcelles, avec la participation de Thierry LACOMBE (SupAgro Montpellier) et de Sylvian BERNARD (Viniflhor Lyon).
Décembre 2007 : la Section Vigne du CTPS se prononce pour l’inscription au Catalogue Officiel, sous le nom de Corbeau (malgré l’opposition du Syndicat désireux de maintenir Douce Noire).
10 février 2008 : Dépôt d’une requête pour l’obtention du synonyme officiel Douce Noire.
03 mars 2008 : Anna SCHNEIDER (CNR Turin) transmet un document démontrant qu’il n’y a aucune confusion possible en Italie, entre le Dolcetto et la Douce Noire.
05 mars 2008 : Arrêté inscrivant le Corbeau N au Catalogue Officiel des Variétés de Vigne
10 mars 2008 : la Section Vigne du CTPS décide l’ajournement de sa décision concernant le synonyme officiel, en fonction des éléments suivants :
1 – Obtenir le classement en cépage « recommandé ».
2 – Obtenir l’avis favorable de l’autorité italienne, le Comité Viticole Régional du PIEMONT, par rapport au Dolcetto.
3 – Constater l’intérêt des professionnels locaux se traduisant par la plantation de surfaces significatives.
12 mars 2008 : Arrêté procédant au classement de la variété Corbeau N. en catégorie « cépage autorisé », dans les départements de l’AIN, de l’ISERE, de la SAVOIE et de la HAUTE SAVOIE.
13 mars 2008 : Parution au Journal Officiel de l’inscription au Catalogue.
21 mars 2008 : Parution au JO du classement en catégorie « cépage autorisé ».
13 juin 2008 : Le Comité Viticole Régional du PIEMONT (ITALIE), se prononce favorablement pour le synonyme officiel Douce Noire pour le cépage Corbeau.
18 décembre 2008 : la Section Vigne du CTPS donne son accord pour la mise en place d’une expérimentation destinée à obtenir le classement en « cépage recommandé ».
20 février 2009 : Arrêté changeant fondamentalement la réglementation relative au classement des cépages. Il supprime de fait les catégories « cépage autorisé » et « cépage recommandé ».
Le Corbeau Noir peut donc dorénavant être planté sur l’ensemble du territoire métropolitain, sans réfaction de droits de plantation.
Ainsi depuis le 20 février 2009, le classement « cépage recommandé » étant supprimé et l’ITALIE s’étant prononcée favorablement, il ne reste que la dernière condition à remplir pour espérer pouvoir bénéficier du synonyme officiel Douce Noire : planter des surfaces significatives. Appel est donc lancé à tous les candidats susceptibles d’être motivés pour l’implantation de ce cépage, et pour ceux qui répondraient positivement je leur saurais gré de bien vouloir m’informer pour l’instruction de ce dossier.
Et dans le prolongement de l’évocation de ce processus de réhabilitation de la Douce Noire il faut signaler qu’au Conservatoire de VASSAL sont actuellement implantés 6 clones, dont les origines sont les suivantes : CHINDRIEUX (SAVOIE), VILLARD-D’HERY (SAVOIE), MOIRANS (ISERE), département de l’INDRE, CONEGLIANO (ITALIE) et MENDOZA (ARGENTINE). D’autre part il est intéressant de noter que Pierre GALET, dans son ouvrage « Cépages et Vignobles de France », 1990, indique que la Douce Noire est appelée Charbono en CALIFORNIE, où elle serait encore présente aujourd’hui.
IV – VINIFICATION/DEGUSTATION
Quelles perspectives ?
La voie ancienne que l’on retrouve constamment dans la bibliographie et les témoignages d’anciens vignerons, à savoir l’assemblage avec le Persan et la Mondeuse Noire avec pour objectif d’atténuer l’acidité et d’assouplir les tanins de ces derniers pour obtenir des types de vins de qualité.
La voie nouvelle à confirmer : le Conservatoire du Vignoble Charentais, dans un document intitulé « Protocole – Essais de culture de cépages anciennement cultivés dans les CHARENTES », du 7 février 2005, indique : « … le Corbeau N…. est cultivé dans la collection ampélographique du Conservatoire…Suite à des microvinifications, on s’aperçoit que lorsque sa production est maîtrisée, il peut convenir à l’élaboration de vins « primeurs ». Ces éléments restent toutefois à vérifier dans les conditions d’exploitations viticoles classiques ».
La voie nouvelle bis : l’une des caractéristiques de la Douce Noire est de tendre à donner des vins pas très alcoolisés. Ce qui autrefois pouvait être considéré comme un défaut, à l’heure où des laboratoires, dont l’INRA, effectuent des recherches sur l’obtention de vins avec peu ou pas d’alcool, pourrait devenir un avantage. La Douce Noire, en version vin de soif, pourrait ainsi concurrencer la bière et permettre aux jeunes générations de « venir » au vin (vin « partage » à boire entre amis…)
La dégustation
En 2008, une cuvée expérimentale de 100 litres a été réalisée à partir d’une vieille vigne.
Lors de l’embouteillage plusieurs variantes ont été effectuées, Douce Noire seule et assemblages divers. Ultérieurement deux séances de dégustation, rassemblant chacune un vingtaine de personnes, ont été organisées, le 22 avril 2009 à FRETERIVE et le 8 juin 2009 à MONTMELIAN.
Les 3 assemblages les plus prisés ont été les suivants :
1/2 Douce Noire + 1/2 Persan
2/3 Douce Noire + 1/3 Mondeuse Noire
1/3 Douce Noire + 1/3 Persan + 1/3 Mondeuse Noire
Quant à la Douce Noire seule, voici l’extrait de la fiche de notations de l’un des dégustateurs qui carctérise particulièrement ce vin :
« Oeil : robe légère, un peu trouble
Nez : lactique, fruits rouges, sureau
Bouche : attaque vive, puis fruitée et souple, tanins présents mais harmonieux
Harmonie : vin tendre, flatteur, fruité, avec de la personnalité
V – CONCLUSION
Ce cépage, partie intégrante de notre patrimoine viticole, est aujourd’hui réhabilité à la grande satisfaction des tous les acteurs de sa défense. Cette action est une contribution notable à la préservation de la biodiversité.
Il importe maintenant de remonter la pente des surfaces plantées en Douce Noire, de mettre en place des expérimentations consacrées à sa culture et à sa vinification pour optimiser ses potentialités, sans négliger la communication en direction des consommateurs et des partenaires situés en amont dans la filière.
Il m’appartient au terme de cet exposé de remercier sincèrement les nombreuse personnes qui ont contribuées à l’issue rapide et favorable de ce dossier de réhabilitation.
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RESUME
Le cépage Corbeau, dénommé Douce Noire en SAVOIE, occupait une place importante autrefois dans ce département, avec une présence marquée bien au-delà.
Malencontreusement interdit en 1958, c’est en 2008 qu’il est inscrit au Catalogue Officiel des Variété de Vigne, après 50 ans de proscription.
Aujourd’hui réhabilité, il importe de rechercher l’optimisation des potentialités de ce cépage.
En outre, il doit être planté sur des surfaces conséquentes pour espérer obtenir le synonyme officiel Douce Noire et permettre une production de vin suffisante pour engager des actions de promotion.
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MOTS CLES
Corbeau, Douce Noire, ampélographie, interdiction, inscription au Catalogue Officiel, réhabilitation, synonyme officiel, assemblage, vin primeur.
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ADDITIF 2011
Une heureuse issue : le synonyme officiel Douce Noire est accepté.
Extraits du JORF du 26 mai 2011 : « Arrêté du 10 mai 2011 introduisant une liste officielle de synonymes pour le matériel de multiplication de vigne inscrit au Catalogue officiel (plants de vigne)…
Dénomination principale (désignée au Catalogue) : Corbeau N
SYNONYME UTILISABLE : DOUCE NOIRE N »
Et désormais nous pouvons planter ce cépage inscrit sur la liste du Cahier des charges de l’Indication Géographique Protégée (IGP) « VINS DES ALLOBROGES » homologué par l’arrêté du 26 octobre 2011, JORF du 8 novembre 2011.
Il nous reste encore à positionner : L’étraire de la Dhui, la mondeuse blanche, l’altesse…